Moussa Djidingar



Lettre ouverte à son excellence Monsieur le Président de la République du Tchad, Président de Transition, le Général Mahamat Idriss Deby Itno

Son Excellence Monsieur le Président de la République du Tchad , Président de la Transition, Chef de l’Etat

Président de la République du Tchad, le Général Mahamat Idriss Deby Itno
Le Général Ousman Brahim Djouma, Gouverneur de la province du Moyen-Chari, Tchad

Par la présente, je vous écris en toute considération ce qui me tient au cœur avec impatience.

Excellence,
Permettez moi de vous adresser toutes mes félicitations pour la réussite de la première phase de Transition, la plus splendide dans l’histoire du Tchad.

Monsieur le Président,

Du haut de votre rayonnante gouvernance, la gestion du pays, de la réussite du première phase de transition, de la seconde qui sera certainement édifiante et époustouflante avec des multiples promesses tenues. De l’intégration des 5000 diplômés sans emplois à la fonction publique, en passant par le démarrage des travaux mises en arrêts, de votre main tendue qui fait de vous un leader rassembleur aux paradigmes les plus éblouissants dans la recherche de la paix et de la cohésion sociale pour une convivialité intégrale à la nation et de plusieurs autres actions concrètes au service de la nation; je vous souhaite une fois de plus un triomphe intégral dans cette phase cruciale de la seconde transition. Si vous êtes aujourd’hui au sommet, sincèrement c’est de la classe.

Monsieur le Président de la République,
Jeune vous l’êtes, votre nom s’inscrira dans le livre d’or d’histoire d’un jeune président qui a su et pu diriger un pays dans une phase tumultueuse suite à la mort tragique du Maréchal (paix à son âme).

Excellence ,
Vôtre altruisme, patriotisme, chauvinisme et la culture de l’humain que vous manifestez, certainement ce n’est pas uniquement pour votre ambition, mais pour un retour à la paix, la réconciliation nationale et de rendre une vie décente à tous les tchadiens.


Excellence Monsieur le Président, s’il faut voter, vous serez le candidat prioritaire pour une bonne partie de la population, loin des éternels factieux. Subséquemment, je serai le premier militant à m’époumoner de battre campagne pour vous.

Excellence Monsieur le Président,
Dans ce pays, il y’a des hommes d’action patriotique, qui aime cette nation, ce pays avec des actions fondamentalement prépondérantes, pas seulement dans la sécurisation de la population, mais aussi et surtout dans le cadre d’appui à toutes les politiques du gouvernement de la transition. Je parle ici de l’homme considéré comme l’acteur du développement, le Général Ousman Brahim Djouma, actuel Gouverneur de la province du Moyen-Chari.

J’avais côtoyé quand il était Gouverneur de la Province du Kanem. Humble, chauvin, bosseur, un administrateur chevronné et de qualité, le Général Ousman Brahim Djouma, l’homme qui passe beaucoup de temps sur le terrain que dans son salon ou bureau. Cet homme de parole et d’action qui passe des nuits sous les étoiles dans le désert du Kanem bravant vents et marrés, traverse des forêts jusqu’à la frontière centrafricaine avec les forces de l’ordre pour la sécurisation de la population à pu créer des approches de consolidation de la paix dans la province du Kanem et aujourd’hui au Moyen-Chari.

Excellence Monsieur le Président,
Si l’on reconnaît l’homme par ses actions, le Général Ousman Brahim Djouma brille à travers ses œuvres, ses prestations sécuritaires et administratives de qualité, sa diplomatie et son approche communautaire entre les jeunes et femmes, ses actions salvatrices, nobles et monumentales au service de la nation, pour une transition apaisée. Multiples, je ne pourrai faire une liste sommaire de ses œuvres salvatrices, du développement pour le pays.

Cependant, grâce à vos multiples appuis et orientations, il a désactivé l’option conflit dans le Moyen-Chari, activé le schéma de la paix, la consolidation et de la cohésion sociale caractérisé par une paix dispendieusement retrouvée. Jeune, femme, enfant et ses collaborateurs parlent encore de ses œuvres dans le Kanem, et aujourd’hui dans le Moyen-Chari.
Témoignages, lettre de félicitation, de reconnaissance, des magnifiques cadeaux de reconnaissance… prouvent à suffisance ses actions au service du pays dans tous les secteurs du développement.
Pour moi, il est indubitablement le meilleur Gouverneur de la Transition.


Excellence Monsieur le Président, le Général Ousman Brahim Djouma a montré un patriotisme et des sacrifices dans le travail pour la réussite de la Transition grâce a vos multiples soutiens et orientations, partout il passe, des traces restent indélébiles en votre nom, du gouvernement et de la Transition.

Excellence Monsieur le Président de la République, Président de la Transition, Chef de l’Etat, en tant qu’un citoyen tchadien qui aimerai vous voir derechef réussir cette transition, amoureux de son pays et fier d’avoir vous comme Président de la République; s’il y’a une chose sine qua none qui me tient à cœur et à vous demander, c’est sans doute d’encourager et de féliciter avec UNE ÉTOILE DE PLUS AU GÉNÉRAL OUSMAN BRAHIM DJOUMA.

Je vous souhaite en toute sincérité du succès et une réussite intégrale dans cette deuxième phase cruciale de la Transition.


Vous remerciant pour l’intérêt que vous porterez à ma lettre, je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, Président de Transition, Chef de l’Etat, ma très haute considération.

Moussa Djidingar


Tchad : Dialogue National Inclusif et Souverain

Après la mort tragique du Maréchal Idriss Déby Itno au front, le 20 Avril 2022, une équipe militaire composée de 15 membres ont formé un conseil militaire de transition à sa tête le Général Mahamat Idriss Deby Itno pour une transition de 18 mois.

Pour réunir les fils et filles du Tchad dans une réconciliation nationale le Général Mahamat Idriss Deby, président du conseil militaire de transition, tend la main à tous les opposants en exil et aux rebelles afin de construire un Tchad meilleur et prospère, et aussi enterrer la hache de la guerre.

Signature de l’accord de paix à Doha

C’est ainsi qu’à Doha au Qatar, les politico-militaires se sont reuinis sur invitation du conseil militaire de transition sous la garantie du Qatar le 13 Mars 2022 pour un pré-dialogue afin de mettre tous les sujets sur la table, pour une discussion qui aboutira à une paix durable au Tchad. Un Tchad sans les bruits des armes, dont une élection présidentielle s’en suivra dans une totale transparence, liberté et démocratie.

Signature de l’accord de paix à Doha

Au cours de ces assises à Doha, quelques politico-militaires militaires ses sont retirés, car leurs conditions ne sont pas prises en compte. Il s’agit entre autres, de la libération des prisonniers de guerre, de l’inégibilité des membres du gouvernement et du conseil militaire de transition à l’élection présidentielle à venir.

Refus de signature de paix par certains politico-militaires, dont le FACT

Cela n’a pas empêché aux politico-militaires de signer les accords de paix le 08/08/2022 à Doha en présence du président du Conseil Militaire de Transition, des partenaires, les représentants des émissaires internationaux et des Qataris, dont le Qatar est le pays hôte.

En revanche, le Front pour l’alternance et la concorde au Tchad (FACT), l’un des principaux groupes rebelles, a refusé de signer l’accord, malgré les espoirs des médiateurs à Doha. Il dénonce des irrégularités dans l’accord, dont la non prise en compte de leurs conditions, dont la libération des prisonniers de guerre.

Ipso facto, cette main tendue du Président du Conseil Militaire de Transition à fait venir au Tchad, ceux qui n’ont jamais vu le pays il y’a une dizaines d’années.

Organisation du dialogue national inclusif et souverain

La grande salle du Dialogue National Inclusif et Souverain

Avant l’organisation du dialogue national inclusif et souverain, un comité dénommé CODNI (Commission de l’Organisation du Dialogue National Inclusif). Ce comité est chargé de confectionner tous les résumés des thématiques des différents pré-dialogues qui ont eu lieu. Il est également chargé d’adopter ensemble avec la plénière un règlement intérieur visant à réglementer les assises du dialogue, du début jusqu’à la fin.

Cependant, 1500 participants des différentes corporations entre autres : la société civile, les jeunes, les partis politiques, les femmes, les politico-militaires, les observateurs… ont été invité pour participer au Dialogue National Inclusif et Souverain qui s’est ouvert le 20 Août 2022 à Ndjamena. Lors de son discours d’ouverture, le Président du Conseil Militaire de Transition à invité ceux qui n’ont pas signé les accords et ceux qui se sont retirés de rejoindre les autres afin de construire un Tchad unis et prospère.

Les différents thématiques du dialogue

Thematiques sur les droits et libertés fondamentales

5 grandes thématiques, divisés en sous thématiques ont caractérisé le long du dialogue national inclusif et souverain. Il s’agit de :

  1. Paix, cohésion sociale et réconciliation nationale
  2. Forme de l’état
  3. La liberté Fondamentale
  4. Politiques publiques sectorielles
  5. La question sociétale

Je reviendrais au prochain article pour plus des détails sur les thematiques citées ci-dessus


Tchad : Un médecin sauve un enfant qui a avalé un gonfleur de ballon

A Rigrig, chef-lieu du Département du Kanem-ouest, dans la province du Kanem situé à 300 kilomètres de la capitale tchadienne Ndjamena, un médecin sauve un enfant qui a avalé par inadvertance un dégonfleur( aiguille).

Les parents de l’enfant, l’on amené en toute urgence à l’hôpital. Après l’intervention du Médecin, l’état sanitaire de l’enfant se dégradait. Pour sauver cet enfant, le médecin avait évacué à l’hôpital de Ndjamena, la capitale du Tchad. Ce dernier, n’a pas manqué d’accompagner l’enfant et sa famille afin de le sauver.


Malheureusement, à Ndjamena les médecins n’ont pas ou retirer l’aiguille avaler par l’enfant. L’enfant a été encore évacuer à Douala au Cameroun, dont les médecins ont pu retirer l’aiguille et l’enfant à retrouvé sa santé.


Ipso facto, la population de Rig-Rig, fier de son médecin, a adressé un vif remerciement à Abdel-aziz Mahamat Adam, le courageux et audacieux médecin.


Catastrophe naturelle à Mao, capitale de la province du Kanem au Tchad

L’un des grands ravins à Mao au quartier Maifort, crédit photo : Moussa Djidingar

Au mois d’août 2022, la province du Kanem, située au nord de la capitale tchadienne, a été à la merci d’une catastrophe naturelle qui a fait des pertes matérielles et des vies humaines, occasionnée par une intense pluviométrie.

Forte pluviométrie

Le basculement du changement climatique touche une grande partie de la bande sahélienne, dont le Tchad, singulièrement la province du Kanem. Accompagnée d’un vent violent, le mardi 22 août 2022, une forte pluie s’est abattue à Mao, le chef-lieu de la province du Kanem. Elle a été estimée à 90 millimètres, et a fait d’énormes dégâts, dont des morts.

Pertes matériels, habitat et des vies humaines

Au total dix personnes ont perdu la vie dans les écroulement des maisons suite aux intensités pluviométriques dans ce mois d’août. Des maisons écroulées, des personnes blessées, des ravins approfondis, des arbres cassés et des pertes des vies humaines, tels sont les dégâts tristement enregistrés.

Nombre des décès suite aux effondrements de leurs habitations

A Blablim, un des quartiers de Mao, on compte trois morts dont une femmes enceinte et deux de ses enfants suite à l’effondrement de leur habitation le 23 août 2022.

Subséquemment le 24 août 2022 à Woutou Koulfou, un village situé à quinze kilomètres à l’Ouest de Mao, un couple est mort suite à l’effondrement de leur habitation.

A Ayouloum, un des quartiers de Mao, un homme d’une trentaine d’année a perdu la vie suite à l’effondrement de son habitation

Le 25 août 2022, à Tchidi Massari, un garçon de 8 ans a succombé à ses blessures suite à l’effondrement de la maison familale. Blessés, son papa et sa maman ont été transférés à l’hôpital provincial de Mao.

Habitat écroulé sur un enfant à Tchidi Massari. Crédit Photo : Moussa Djidingar

Selon Mahamat Makaou, membre la société civile le bilan est catastrophique : « Des gigantesques ravins, 33 maisons écroulées au quartier Mao-youlo et Maifort dont deux mosquées. 18 personnes évacuées. 19 WC sans compter les murs détruits et les canalisations de tuyaux. »

Plusieurs ravins ont donc été creusés plus en profondeur, dont cinq gigantesques qui risquent encore d’emporter des habitations.

Appel à l’assistance de l’association des jeunes engagés pour le développement du Kanem aux sinistrés

Dans un communiqué, l’Association des Jeunes Engagés pour le Développement du Kanem (AJED-K) lance un appel au gouvernement tchadien, aux organisations de secours ainsi qu’aux personnes de bonne volonté d’apporter une assistance d’urgence vitale aux sinistrés, victimes des catastrophes naturelles et aux familles explorées.

La réponse à l’appel d’assistance aux sinistrés et aux familles explorées de la Fondation Idriss Alaoma

Distribution des vivres aux sinistrés à Mao par la fondation Idriss Alaoma. Crédit photo : Moussa Djidingar

La fondation Idriss Alaoma a été créée par les fils et fils du Grand Kanem, à savoir la province du Kanem, Lac, Hadjer Lamis et Bahr El Gazelle.

Ce 3 septembre 2022, en collaboration avec l’association des jeunes engagés pour le développement du Kanem, la fondation Idriss Alaoma a assisté aux sinistrés et aux familles explorées en leur fournissant des kits alimentaires. Ce kit est composé d’un sac de riz, d’un bidon d’huile de 5 litres, d’un paquet de macaroni et d’un paquet de sucre. Les kits sont donnés pour 100 sinistrés dans la province du Kanem à Mao, et aux 100 sinistrés dans la province du Lac à Bol.


Tchad : Top 11 qui fait du Gouverneur de la province du Kanem, le meilleur Gouverneur de la transition tchadienne

En un an seulement, le Gouverneur de La Province du Kanem, le Général Ousman Brahim Djouma a montré un bilan positif, au-delà des attentes.

Voici quelques unes de ses réalisations : les top 11

  1. Sécurisation de la population

Général de Brigade, le gouverneur de la province du Kanem n’a pas manqué à sécuriser la population du Kanem, malgré quelques incompréhension de la population sur l’interdiction de la migration vers l’orpaillage. Ce travail abbatu lui a valu une lettre de félicitation du Ministre de l’Administration du Territoire et de la décentralisation du Tchad.

2. Plaidoyer auprès du PCMT pour le ravitaillement de 15.000 sacs de vivre à l’ONASA

Décrété comme un État d’urgence zn sécurité alimentaire et nutritionnelle , l’insécurité alimentaire est flagrante au pays de Toumaï. Située au Nord-Ouest du Tchad, la province du Kanem est placée sur la courbe ascendante d’urgence alimentaire, dont la malnutrition est au seuil d’urgence selon le rapport du Mars 2022 d’OCHA. Sur ce, le gouvernement tchadien à travers son institution ONASA (Office Nationale de lutte contre l’insécurité Alimentaire) avait subventionnée les céréales, afin de subvenir au besoin de la population. La Province du Kanem est bénéficiaire de cette subvention. Étant une province en situation de crise alimentaire, le gouverneur de la province du Kanem avait fait un plaidoyer de 15 000 sacs de céréales supplémentaires pour la population du Kanem. Une exception faite seulement pour la province du Kanem.

3. Réalisation d’un rond-point à l’entrée de la ville de Mao

Un rond-point aux structures modernes à été réalisé par la mairie de Mao, sur initiative du Gouverneur de la province du Kanem. Ce rond-point est baptisé Rond-point Maï Dunama.

4. Réalisation d’un espace vert

Un espace vert, un lieu de divertissement et de loisirs des jeunes à été réalisé par la mairie sur initiative du Gouverneur à coût de 36 millions de FCFA. Soucieux du développement de la province du Kanem, le gouverneur de la province du Kanem le Général Ousman Brahim Djouma s’est engagé à continuer dans le même élan lors du l’ouverture de l’espace vert dénommé Alifa Mouta Ali Zezerty actuel Majesté Sultan du Kanem.

5. Dotation d’un groupe électrogène supplémentaire pour l’électrification de la ville de Mao

Avec un seul groupe électrogène qui ne couvre pas la ville de Mao, le gouverneur de la province du Kanem le Général Ousman Brahim Djouma, à fait un plaidoyer à son excellence le Président du Conseil Militaire de Transition Le Général Mahamat Idriss Deby, pour le renforcement d’un autre groupe électrogène permettant de couvrir toute la ville de Mao. Chose promise, chose due. Un groupe électrogène flambant neuf avait été réceptionné par le Chef de la SNE, dont l’ouverture à été faite par le Général Ousman Brahim Djouma.

6. Financement des microprojets des jeunes

Vu le manque d’emploi, le gouverneur de la province du Kanem, qui est à l’écoute des doléances des jeunes à financer l’association des jeunes engagés pour le développement du Kanem a hauteur de 5 millions de FCFA pour financer les microprojets des jeunes danse domaine entrepreneurial, qui consiste à financer 100 jeunes à hauteur de 50.000 FCFA non remboursable. Ce financement a fait le tour de 5 départements de la province du Kanem. Des témoignages des jeunes ont été fait pour un remerciement à son endroit et une demande d’extension du finacement.

7. Contribution et soutien sans cesse à la couche vulnérable

Discret, le gouverneur de la province du Kanem assiste et soutien les couches vulnérables. Il n’existe pas à mettre la main dans sa propre poche afin d’aider les vulnérables.

8. Soutien financier à l’UNT de Mondo

L’unité Nutritionnelle et Thérapeutique de Mondo, suite au retrait brutal de l’ONG Action Contre la Faim, a fait au moins 8 enfants morts de la malnutrition aiguë sévère. Après l’alerte de cette situation Nutritionnelle alarmante des enfants qui a fait son déplacement avec toute une équipe, le gouverneur de la province du Kanem n’a pas hésité de mettre la main dans sa poche afin d’aider l’unité Nutritionnelle thérapeutique de la ville de Mondo. Il a demandé aux agents infirmiers la stratégie et les approches étatiques et communautaires pour la suivie de l’unité Nutritionnelle thérapeutique en cas de non assistance d’une organisation internationale. Des recommandations ont été faites, et prises en comptes pour sauver des vies humaines.

9. Contribution de plusieurs associations lors de sa dernière tournée dans les départements et sous-préfectures du Kanem

Lors de sa dernière tournée dans la province du Kanem, le gouverneur de la province du Kanem, étant lui-même jeune, n’a pas manqué de convoquer les associations des jeunes de la place afin de les écouter. Toutes les associations qui ont assisté à la reuinion avec le gouverneur dans tous les départements de la province du Kanem ont reçu une enveloppe d’encouragement.

10. Plaidoyer pour la relance des chantiers en arrêt.

Jeune, avec une vison du développement, le Général Ousman Brahim Djouma met la main dans lanpatte du développement en faisant toujours des palidoyer qui consiste à développer la province du Kanem. Subséquemment, il continue derechef à faire du plaidoyer afin que les chantiers en arrêt soient redémarrer. Déjà la construction du deuxième château d’eau de la ville de Mao avait déjà repris.

11. Un soutien financier et matériel à l’olympique de Mao, équipe qui représentée la province du Kanem au tournois national.

Lors du tournois du football zonal et national, le gouverneur de la province du Kanem à aider financièrement et moralement l’équipe qui participe à la compétition nationale. Les joueurs étaient reconnaissant, malgré qu’ils n’ont pas occupé le premier place.

Sans le jeter des fleurs, du début de la transition jusqu’aujourd’hui, il n’y a pas un Gouverneur qui a fait mieux que lui, le seul Gouverneur qui a reçu une lettre de félicitation par le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation.

Au delà de cette lettre de félicitation, il mérite une décoration, une étoile de plus : UN GÉNÉRAL DE DIVISION


VISITE DE LA CONSEILLÈRE DU PCMT à Mao, dans le Kanem


La conseillère de l’AJED-K Manara Adam Idriss par ailleurs conseillère à la présidence de la république visite le local de la pisciculture à Mao

La conseillère de l’AJED-K Manara Adam Idriss par ailleurs conseillère à la présidence de la république a visité ce lundi 11 juillet 2022 le local de la pisciculture au Ouaddi de moto à l’ouest de Mao initié par le chargé de formation, de l’éducation et du NTIC de l’association Warou Abba Adji Alifa.


Ont pris part, le préfet du département du kanem centre Brahim Alifa Ali, le président de l’AJED Moussa Djidingar accompagné de quelques membres de l’association.

L’objectif est ausis d’échanger avec la conseillère sur l’avenir de l’association pour le développement de la province du Kanem.

Prenant la parole Madame la conseillère de l’AJED-K Manara Adam Idriss a remercié le préfet pour sa présence, les membres de l’AJED-K pour leurs volontés au développement du kanem. Elle a ensuite ajouté ceci « Je suis pas venu au non de la conseillère de la présidence de la république mais je suis venu entent que membre de l’AJED-K et ressortissantes de la province » a t elle conclut


La France et la perte partenariale avec ses anciennes colonies

Emmanuel Macron, Président Français

La France, pays à vocation politique basée sur des intérêts, voit ses anciennes colonies se déconnecter du lien Françafrique qui a trop perduré.

La République Centrafrique

Déjà, la RCA tombe dans la main tendue russe et rwandaise. La logistique sécuritaire est assurée par les russes. Ce partenariat RCA – Russie s’agrandit et la France perd le terrain de jour en jour.

Le Mali

Puis le Mali ? Il y’a une forte probabilité que le colonel Assimi fera une table rase avec la France qui menace de retirer ses soldats sur le territoire malien. La jeunesse malienne qui avait manifesté devant l’ambassade russe demandant leur soutien, est prête à découdre avec la moche histoire Françafricaine. Ce sentiment anti-politique de la France prend ampleur avec la nouvelle génération africaine, imprégnée de la réalité sur le terrain.

Le Gabon

Le Gabon, ancienne colonie française cherche à être membre de la Commonwealth. Ce 3 juin 2021, Par le biais de la page officielle du président Ali Bongo, l’ambassadeur russe est reçu à la présidence dans le cadre du renforcement de la coopération en matière diplomatique, économique, sanitaire, énergétique et de DÉFENSE pour profiter des nouvelles opportunités dans l’élargissement de ses partenaires.

3 pays, regardent déjà d’autres horizons, d’autres partenaires surtout russe.

A quel pays sera la prochaine sortie ?

Avec cette montée en puissance de la nouvelle génération consciente des affres Françafricaine, à quel pays sera le tour après le Gabon ?


Tchad : les insécurités dans le Nord-Kanem

Paysage dans le Nord-Kanem. Photo crédit : Moussa Djidingar

Déjà, le département du Nord Kanem, l’un des plus du Kanem est sur la liste des ONG comme une zone rouge, où l’insécurité alimentaire gagne le terrain de jour en jour. L’inquiétude monte au sein de la population du flambée des prix alimentaires.

Les habitants de cette zones de pâturage, éleveurs mais aussi maraîchers privés des activités génératrices des revenus n’arrivent pas à joindre les deux bouts. D’une part l’insuffisance d’aide colossale pour la valorisation et la promotion agricole défavorisent l’avancée majeurs des activités du maraîchage, bien que dans la sous-préfecture de Nokou quelques Organisations humanitaires interviennent pour donner du souffle à cette activité vitale de la population qui leur permet de se nourrir et nourrir une partie de la population grâce à leurs produits. D’autres part, malgré les multiples groupements surtout féminins, le gouvernement tchadien via les actions sociales avait malheureusement abandonné ces femmes dans leurs projets des activités génératrices des revenus. Dans certains villages, sous un vent sec et chaud, rien ne bouge. L’on constate l’amaigrissement des bétails, la rareté de l’eau potable, je témoin l’absence de l’eau potable dans certains villages où les femmes et enfants traversent plusieurs mètres au dos d’âne pour puiser l’eau des puits traditionnels et busés, puis transporter difficilement dans leurs villages respectifs.

Incursion rebelle

Depuis l’incursion de la rébellion, le Nord Kanem plonge encore dans une autre phase d’insécurité. Selon le témoignage de quelques habitants, des véhicules brûlés et autres butins détruit des combats font que la population se raissaisit de peur à se faire buter par une bombe.

Le calme revient de plus en plus dans certaines zones du Nord-Kanem, mais la double inquiétude de l’insécurité planent encore.


Tchad : « Objectivons » et « concrétions » que de « grioter »Tchad :

Il y’a un temps pour « grioter » et un temps pour « degrioter ». Alors, c’est le moment de « degrioter » et d’être objectif et concret. Car le griotisme n’a jamais aider le pays, si ce n’est les proches, et on sait les résultats du griotisme de ces dernières années.  Aimons ce pays dans nos coeurs, pas dans nos poches.

Ces blablablas….sudistes oh, nordistes oh, chrétiens oh, musulmans oh…. ne vont jamais redresser un pays. En revanche, approfondissent les fossés de la méfiance, cultivent des nouvelles formes de haine et de rancœur.

Pire, il y’a des profitosituationnistes qui à la première occasion embellissent ces meurtrissures et cherchent à créer la division au sein de notre patrimoine commun qui est le Tchad, un et indivisible. 

La malignité pour des intérêts sordides dans un esprit maléfique est l’adepte de toute forme des égratignures.

Tout de même, la justice pour tous est l’une des plus grande caractéristique de l’unité nationale dans un dialogue franc, sincère et objectif incluant tous les tchadiens d’ici et d’ailleurs.

Sur ce, nous sommes capables de trouver des solutions, d’orienter nous même notre pays sans les interventions des géants géopolitiques qui ne regardent que les Euros derrière chacune de leurs décisions.

Vivement, l’objectivité et le concret pour le Tchad dans un dialogue franc, sincère loin des subjectivités politiques.


Mon choix du vice-président de la République du Tchad

Mahamat Allahou Taher, Président Nationale du RDP au Tchad

Politiquement,  il vient de loin, très loin. Il a montré son intégrité, son honnêteté et sa vision du développement du pays quand il était plusieurs fois ministre, dont de la fonction publique.  Les fonctionnaires s’en souviennent encore de lui, de son refus d’abattre leurs salaires. Pour lui probablement la solution est ailleurs, de la relance de l’économie tchadienne.

Il est le président du parti qui a assuré la transition au Tchad, le RDP. Il s’appelle Mahamat Allahou Taher.

Pour sa franchise, son sens de leadership et dans l’administration publique tchadienne qu’il avait d’ailleurs démontré, il redressera sans doute la courbature du pays.

Conscient de la situation des jeunes, ne cesse de prôner l’employabilité des jeunes afin de barrer la route à la pauvreté, le flux migratoire des jeunes vers d’autres horizons, où les autres pays profitent les belles prestations de service des jeunes, il ne cesse de dire « l’avenir appartient aux jeunes ».

L’on se souvient encore de son passage au ministère de la fonction publique. La plupart des gens, témoignent de sa rigueur dans le travail, incorruptible, que tu sois petit ou grand,  pour lui seul le talent et la compétence comptent.

Si Ali Abdraman Haggar conseille à MIDI de faire un choix de qualité, il a parfaitement raison. De sa publication qui prône le choix d’une qualité requise,  je vois MAT.

Au vue de ses expériences politiques, économiques, sociales… Mahamat Allahou Taher est la personne idéale pour le poste du vice-président de la République du Tchad.


Un appel aux dons pour sauver les élèves de la première école du Tchad

A Mao, 1.245 élèves de la première école du Tchad manquent d'eau potable. Un appel aux dons est lancé pour construire un château d'eau.
Le forage en panne de l’école Pilote Bas-fonds. Photo crédit : Adji Aguid

A Mao, 1.245 élèves de la première et plus ancienne école du Tchad manquent de matériel, d’une infrastructure salubre mais surtout d’eau potable. Un appel aux dons est lancé pour construire un château d’eau.

Au Tchad, la première école française a été créée à Mao, dans la province du Kanem en 1911, avec 11 élèves. Autrement, la francophonie a officiellement vu ses jours au Tchad à cette date. Cette école a ensuite été déplacée vers le Bas-Fonds de la ville, le quartier d’où elle tire son appellation. Elle a formé plusieurs hauts cadres du pays. En 2021, l’école pilote Bas-Fonds compte 1.245 élèves, dont 746 garçons et 499 filles, pour 11 salles de classes. La plus ancienne école, la première école française au Tchad, au-delà de ses 110 ans, manque aujourd’hui cruellement d’eau potable pour nourrir ses élèves des différentes classes.

Aujourd’hui non clôturée, l’école pilote Bas-fonds est laissée à la merci d’une insuffisance de tableaux blancs et d’une absence d’une bibliothèque. Mais la pire des difficultés reste le manque privée d’un point d’eau potable.

1.245 enfants ont besoin de l’eau potable

Par l’absence d’un point d’eau, les élèves de l’école primaire peinent à boire de l’eau potable lorsque la cloche sonne la récréation. Privés d’un point d’eau potable fonctionnel, les enfants se déplacent vers la pompe du Bas-Fonds, vers le Ouaddi, pour boire et transporter de l’eau potable. Cela fait plus de 5 ans que le forage est en panne. Malgré les enseignements primaires reçus par les hauts cadres dans son enceinte, les informations ne sont probablement pas tombées dans leurs oreilles. Sinon il est inadmissible qu’au 21e siècle, la première école qui devait être un monument historique, un édifice de taille pour sa grandeur, tombe sous une difficulté primaire : le manque d’un point d’eau potable ou d’un château d’eau.

Nous sommes fiers que l’école du Tchad ait été créée à Mao en 1911 avec 11 élèves. Sur ce, pour l’amour du pays, pour l’amour du Grand Kanem, soyons aussi fiers de sauver la plus ancienne école du Tchad de cette privatisation d’un château d’eau. De surcroît, pourquoi ne pas aller au-delà de la réalisation d’un château. Par exemple, la clôture de l’école, la création d’une bibliothèque, la dotation de tableaux blancs, de fournitures scolaires…

Appel aux dons aux ONG, opérateurs économiques et personnes de bonne volonté

Pour donner de l’eau à ces 1245 enfants, je lance officiellement la collecte de fonds du projet, qui vise la réalisation d’un forage à motricité solaire, avec un château d’eau qui alimentera non seulement l’école pilote Bas-Fonds, mais aussi les habitants du quartier en eau potable. Ce projet sera mis en œuvre par l’Ajed-K (Association des jeunes engagés pour le développement) du Kanem, avec une équipe technique et de suivi.

Le bureau de l’Ajed-K est situé à Mao (chef-lieu de la province du Kanem), sur la route principale de l’avenue Alifa Zezerty, moins de 300 mètres au Nord de la grande porte Est du Sultanat.

Les partenaires, les opérateurs économiques, les ONG et les personnes de bonne volonté, pour leur contribution, peuvent contacter l’adresse suivante : moussadjidingar@gmail.com (conseiller de l’Ajed-K, coordinateur du projet), ou via leurs numéros WhatsApp : (+23599372760), (+23599208833).

L’eau, c’est la vie. Pour les enfants, je donne. Ensemble, donnons de l’eau potable aux 1245 enfants de l’école primaire pilote Bas-Fonds.


La réalité du monde rural au Tchad : Bour, dans le Nord Kanem, confronté à l’absence d’infrastructures sanitaires

Centre de santé de Bour dans le Nord-Kanem en construction. Photo crédit : Moussa Djidingar

Un reportage du journal Le Monde montrait que les accouchements dans le Kanem constituent un risque pour les femmes, par manque d’infrastructures sanitaires et de personnels qualifiés dans la zone. Au-delà de cette réalité, le Nord-Kanem est encore plus vulnérable sur ces points. L’un des plus vastes département du Kanem, le Nord-Kanem, figure dans la liste des zones à l’insécurité alimentaire et sanitaire des organismes humanitaires. Aujourd’hui je vous fais lire la triste réalité d’un des plus gros village de la sous-préfecture de RigRig, Bour.

Bour, appelé aussi « Soudi », est un très grand village dans la sous-préfecture de RigRig, département du Nord-Kanem. Samedi est le jour du marché hebdomadaire. Grouillé de monde, dans ce marché, les habitants du village et des autres villages voisins, au-delà de 20 à 30 kilomètres, viennent se ravitailler.

Bour n’a qu’un seul centre de santé en perdition infrastructurelle pour plus de 3 000 personnes (chiffre estimatif). Une seule chambre en potopoto, fragile, en phase d’écroulement, est la salle des soins et concomitante à la maternité. Elle jouxte le bureau du RCS (responsable de centre de santé).

Vu l’état du centre de santé, deux chambres en potopoto (voir la photo ci-dessous) sont en construction (certainement une œuvre communautaire) sur une dune de sable, sans abris de protection.

Pas de forage au niveau du poste de santé : les patients viennent avec leurs propres bombonnes d’eau. Sur une natte au sol, je me retrouve face à un patient sous perfusion. Comme à l’accoutumée après une longue salutation, le garde malade me dit que le malade souffre du paludisme. Il est certainement difficile de se soigner normalement dans cette zone, où le minimum des soins est hypothétique. Le chef de ce village, que j’ai pu côtoyé lors de mon premier passage, n’a pas hésité à me parler d’un plaidoyer à faire auprès de l’État, des organismes non gouvernementales et des personnes de bonne volonté à venir à leurs secours, en construisant un centre de santé couplée à une maternité avec des personnels qualifiés.

La santé n’a pas de prix

La santé n’a pas de prix. Le gouvernement tchadien a la responsabilité de faire une répartition équitable des biens publics, des services publics. Il est inadmissible qu’au 21e siècle, les priorités élémentaires soient un luxe.

Voilà comment vit le monde rural sous une inégalité de répartition des biens publics.

A travers ce billet, j’interpelle l’État tchadien à intervenir le plus tôt possible dans cette zone, afin de sauver des vies humaines. S’il y a des moyens pour organiser des campagnes électorales, il y en aura aussi pour sauver des vies humaines.


Le Ouaddi de Barkadroussou entre production maraîchère et de la spiruline

Avec les producteurs maraîchers dans la bassin de production de Nokou.

Barkadroussou se situe à 5 kilomètres à l’Est de Nokou dans le département du Nord-Kanem, province du Kanem. Ce grand village a une population dense. Son potentiel ressource est son Ouaddis qui est extrêmement riche, dont une source nourricière.

Ce Ouaddis regorge une immense potentialité agricole et de production de la spiruline. Selon Ousmane Issa Ousman, fils du chef de village, juriste de formation, le Ouaddi est estimé à 7 Km de longueur. Ce Ouaddis nourrit plus de 1.000 personnes, dans la vente et de la consommation des produits agricoles, puis spiruliniers.

La production maraîchère

La banane, le manioc, les dattes, les légumes, les hesperides, la mangue… sont les produits agricoles les plus récoltés. La plupart des producteurs maraîchers sont vulnérables. Bien qu’ils sont aussi des éleveurs, le maraîchage est l’une des activités principales qui leurs rapporte des revenus. Ainsi, vu le niveau de la vulnérabilité des maraîchers, la vente est minimale et la consommation des produits récoltés est maximale.

Ce Ouaddis produit aussi l’un des aliments le plus riche en protéines qui est la spiruline.

La production de la spiruline dans le Ouaddi de Barkadroussou

Selon les nutritionnistes, la spiruline est une micro-algue d’eau douce qui fait partie de la famille des cyanobactéries ou algues bleu-vert.《Douwi》est son nom en gourane. Elle est une plante qui n’a pas des feuilles, pas des racines ni des fleurs, qui pousse sur l’eau douce. Généralement, elle pousse naturellement en Inde, au Mexique et au Tchad. Une potentialité naturelle qui n’est pas donnée à tous les pays.

Cet aliment nourris plusieurs personnes, sur le plan gastronomique et économique. Il est un remède efficace contre la malnutrition. Sa production dans ce Ouaddis est très archaïque malgré le soutien en formation et la dotation en matériels par l’ONG SOS Sahel.

Sa production

Une cave de la production spirulinière dans le Ouaddi de Barkadroussou. Photo crédit : Djidingar

Cet aliment est produit par les femmes. Leur méthode productive est rudimentaire. Une mare stagnante d’antan qui est encore vivante produit cet aliment. Les femmes avec des tasses et des bidons découpés récoltent au bord de la marre la spiruline en forme semi-liquide. Les femmes productrices transportent la spiruline récoltée sur les dunes de sable. Elles entassent le sable en laissant une cave eu milieu afin de verser la spiruline semi-liquide récoltée. La cave (voire la photo illustrative) permet de retenir l’aliment récolté puis absorbe l’eau en laissant le spiruline verte. Quelques minutes plus tard, les femmes productrices ramassent la spiruline un peu séché, mais très molle afin de la faire sécher à domicile sous le soleil.

Les bienfaits de la spiruline selon les nutritionnistes

La spiruline dans une cave de sable dans le bassin de production de Barkadroussou

Le 《Douwi》 est extrêmement riche en bêta-carotène, en fer, en vitamine B12, en vitamine E (puissant antioxydant ), en protéines, en minéraux et oligo-éléments ( calcium , phosphore ,
magnésium , zinc, cuivre ). Elle contient aussi de la chlorophylle et de la phycocyanine, un pigment aux vertus antioxydantes. C’est un aliment qui lutte contre la malnutrition également.

Appel au soutien

Les femmes productrices de cet aliment ont besoin d’un soutien pour une exploitation moderne. La modernisation de cet aliment permettra aux femmes productrices de commercialiser facilement leurs produits. Ainsi, les revenus permettront à ces femmes vulnérables d’avoir une indépendance économique.

L’État tchadien doit mettre la production et l’industrialisation du Douwi dans son programme de la valorisation des ressources naturelles telle la promotion agricole et celle évidemment de la spiruline.


L’insécurité alimentaire au Tchad continue à faire des ravages

Carte du Tchad, traçant la courbe de l’insécurité alimentaire provinciale. Photo crédit : Cluster Sécurité alimentaire, OCHA

Etre bien nourri est un droit

Selon la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dans son article 25 : « Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation, l’habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires« . Autrement dit, le bien-être est un droit pour tous. Ainsi, on lit dans un document publié le 12 novembre 2018 par l’UNICEF ceci : « être bien nourri, c’est un droit« . Alors m’imprégnant de la réalité alimentaire et nutritionnelle d’une partie de la population au Tchad, catastrophique, je me suis demandé finalement si l’alimentation de cette partie de la population tchadienne est conforme à ce droit d’être suffisamment nourri, surtout celle des zones rurales.

Situation alimentaire et nutritionnelle catastrophique : phase de crise

Selon les résultats du cadre harmonisé de mars 2018, 4 millions de personnes devraient être en insécurité alimentaire pendant la période de soudure au Tchad. De Juin à Septembre 2020, les provinces du Kanem, Bahr el Gazel et du Tibesti seront dans la phase de crise alimentaire et nutritionnelle. Si cette phase n’est pas traitée urgemment pendant cette période soudure, ces zones provinciales risquent de tomber dans la phase dangereuse qui est celle de l’URGENCE.

L’insécurité nutritionnelle dépasse le seuil d’urgence dans certaine partie du pays. Selon un rapport du Ministère de la Santé Publique à travers la Direction de la Nutrition et de Technologie Alimentaire (DNTA), en collaboration avec l’UNICEF , les zones telles que le Sila, Salamat, Batha, Guéra, Wadi Fira, Kanem, Barh El Gazal, Hadjer Lamis, Ouaddaï, Borkou, Ennedi Est et Ennedi Ouest se trouvent dans une situation critique. Dans ces zones, les prévalences de la Malnutrition Aiguë Globale dépassent le seuil d’urgence de 15%.

A cela s’ajoute les impacts de covid-19 qui occasionnent la cherté de vie, la montée des prix sur le marché, surtout dans la province du Barh El Gazhal et Kanem.

Le peuple doit être bien traité

La population de ces zones touchées par l’insécurité alimentaire doit être traitée comme il se doit. Il est inadmissible de voir mourir les enfants de malnutrition parce qu’ils n’ont pas accès à un service de base et à l’eau potable.

 Sur ce, je paraphrase l’article 24 de la Déclaration Universelle des Droit de l’Homme qui dit : « Les États parties reconnaissent le droit de l’enfant de jouir du meilleur état de santé possible et de bénéficier de services médicaux et de rééducation. Ils s’efforcent de garantir qu’aucun enfant ne soit privé du droit d’avoir accès à ces services. »

Manger suffisamment en qualité n’est pas un luxe, c’est une nécessité.


Tchad : zoom sur Ziguey, une zone reculée, dans le département du Nord Kanem, province du Kanem

Ziguey est la sous-préfecture du Département du Nord-Kanem, province du Kanem. Elle fait face à plusieurs difficultés, dont le manque de l’eau potable et des infrastructures sanitaires et scolaires ; l’insécurité alimentaire et nutritionnelle, l’absence d’un service sanitaire de qualité et l’absence totale du couverture des réseaux téléphoniques.

Manque de l’eau potable

La principale source d’eau est le puits moderne. Un puits fait du ciment, avec 10 à 20 mètres, parfois 20 à 30 mètres de profondeur. Les bétails et les humains se ravitaillent en subséquemment avec ces sources d’eau, qui ne sont pas traitées.

Les habitants de cette zone sont des nomades qui se déplacent à la recherche de pâturage, le plus souvent, le long de la période du soudure.

La période de soudure

Ici, vu la rareté pluviométrique, la production agricole est nulle toute l’année. Les mois qui caractérisent la période de soudure sont différents de celles des autres zones. Car L’étendue de la période du soudure dans cette partie de la bande sahélienne laisse entrevoir une longue durée, le plus souvent toute une année. Cependant, l’insécurité alimentaire occasionnée par la perpétuité de la période de soudure demeure encore et encore dans cette zone. De ce fait, elle nécessite une intervention rapide et urgente d’une assistance alimentaire et nutritionnelle particulière, et d’un développement des activités connexes à l’agriculture, le maraîchage. Il est possible de tenter l’impossible, car le guide de la révolution libyenne avait transformé le désert en verdure avec son projet de rivière artificielle.

Manque d’infrastructures et absence du couverture des réseaux téléphoniques

Les infrastructures sanitaires et scolaires semblent être insuffisantes d’où l’on compte au bout des doigts. Les enfants de cette localité n’ont pas accès à l’école. Les femmes enceintes et allaitantes, quant à elles n’ont pas un accès favorable à la fréquentation régulière dans les centres de santé.

Une case traditionnelle dans le Nord-Kanem
Photo Crédit : Djidingar

Dans cette zone, la sous-préfecture de Ziguey, ancienne base militaire française, il y’a une inexistence de couverture des réseaux téléphoniques. La communication dans cette zone semble être très difficile même si les habitants se déplacent parfois pour être en contact avec leurs parents qui habitent loin d’elle.

Avec cette manne pétrolière, ces milliards de FCFA, la zone de Ziguey doit être traitée comme toutes les autres zones, du moins avec les services minimum de base.

Les besoins prioritaires, absolus suggérés comme proposition

L’installation des forages aux photovoltaïque pour une alimentation raisonnablement suffisante en eau potable pour la population est une priorité absolue dans tous les programmes du développement. Cela permet d’une part de réduire cette longue marche des femmes et enfants qui puisent l’eau dans les Ouaddis, et de réduire le taux accrus de la contamination des maladies hydriques qui à la longue fatiguent l’organisme humain d’autre part.

La construction des infrastructures sanitaires et scolaires dans les villages de cette zone, permettront aux enfants de la localité d’avoir accès à la scolarité d’une part et l’accès au service minimum de santé de la population d’autre part.

La population de cette partie du pays qui n’ont pas accès à l’internet, ni à l’eau potable, moins encore à un service sanitaire de qualité sont en grande partie des éleveurs. Elle se guide à travers les étoiles. Elle cherche leurs bétails perdu à travers leurs empreintes. La stratégie d’élevage développée dans cette zone est hors paire, une école à part entière.

La population de cette localité ont une vie simple, une habitude culturelle épouvantable, bref une richesse culturelle bien préservée.

C’est autour du lait de chamelle, un trémousse bien remplir de thé vert, accompagné d’une chanson traditionnelle assortis avec un instrument de musique traditionnelle que je vous écris ces quelques lignes.

Le Tchad est un pays vaste, qui regorge beaucoup de potentialités, mais jusqu’à là restées en grande partie non exploitées.

Une réelle volonté politique doit s’imposer pour tirer le Tchad du trou noir de la pauvreté vers la lumière de l’émergence.


Tchad : La revalorisation de la promotion agricole

Bassin de production agricole dans le Kanem
Photo crédit : Maldagoum

L’agriculture est la colonne vertébrale, l’une des mamelles de l’économie tchadienne. Sa valorisation ou sa revalorisation dans le pays boostera non seulement l’économie nationale, mais aussi et surtout le pays sortira de cette insécurité alimentaire et nutritionnelle qui secoue le pays, avec un taux élevé de la malnutrition aiguë sévère.

Difficultés dans la production agricole

La plus grande difficulté dans la revalorisation et la production agricole, c’est l’absence d’eau. L’accès à l’eau grâce à l’installation des forages d’eau pour une autosuffisance hydraulique est la meilleure option pour donner vie à la verdure.

Les besoins primordiaux pour une bonne revalorisation agricole

Pour bien produire et raviver la promotion agricole dans le pays, il faut satisfaire les besoins suivants :

  • L’installation des grandes pompes à motricité solaire avec des multiples addictions d’eau sera le premier succès dans la promotion agricole: c’est l’accès à l’eau potable non seulement aux plantes qui seront irrigués par pivot, mais aussi et surtout à la population rurale. L’installation se fera dans toute les provinces, surtout le Nord du pays qui est touché par une rareté pluviométrique et l’assèchement des herbes de pâturage. Ces installations sera aussi bénéfique au secteur d’élevage, d’où il y’aura des aires de pâturage pour les animaux qui seront ensuite beaucoup productifs.
  • La formation des agriculteurs sur les techniques des cultures (pluviales et maraîchères) est à développer dans ce secteur via le ministère de l’agriculture.
  • L’accès et la disponibilité des semences de qualité, locales tout en prenant en compte de la répartition climatique des zones est aussi primordial.
  • Le suivi et la disponibilité des bulletins informationnels sur la production agricole avec des indicateurs clés est aussi non négligeable dans ce secteur pour évaluation qualitative.

Les ressources humaines

Loin des ventripotents destructeurs, les ressources humaines seront composées des hommes intègres et honnêtes qui aiment le développement du pays, non le ballonnement de leurs ventres.

Le succès de la promotion agricole

Cette promotion et revalorisation de l’agriculture tchadienne explosera la production nationale agricole. Nous auront des produits «made in Tchad» partout où besoin de fait sentir.

Aussi, c’est ce qui réduira le taux de chômage, car un tel projet pharaonique créera beaucoup d’emplois pour les jeunes.

La Libye est un pays qui a une grande superficie désertique. Cela n’a pas empêché le guide la révolution libyenne, feu colonel Ghadafi à initier un tel projet pharaonique de la promotion agricole qui à une durée 30 à 40 ans dans son exécution. Malheureusement l’OTAN dans sa mission suicidaire avait bombarder les grandes pompes libyenne du rivière artificielle dans le désert.

Implication du chef de l’État dans l’agriculture tchadienne

achant que la plus partie de la population tchadienne est agriculteur, l’implication du Chef d’État (comme l’avait fait lors du colère de Boma et l’éradication du Covid-19) dans la mise en œuvre des actions gouvernementales est sine qua none.

Ainsi, nous diront au-revoir à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle qui siègent le pays avec un pourcentage au dessus du seuil d’urgence.


Terrorisme : les raisons pour lesquelles certains jeunes dérivent

À mes yeux, le terrorisme est l’un des fléaux le plus dévastateur que la planète terre vit présentement. Il est un phénomène humain d’imposition doctrinale et idéologique aux autres. Dans cette bande, l’on constate l’entrée massive de beaucoup des jeunes, qu’ils en soit occidentaux, asiatiques et africains.

Il est bien évident que les mains fortes prêtées par les jeunes aux terroristes sont déterminées par de très grandes causes importantes : le chômage chronique des jeunes, la fluidité idéologique religieuse dominatrice des terroristes à la conscience juvénile, le désespoir juvénile aussi, et surtout l’impétuosité désastreuse des chefs d’État africains.

Ces grandes causes déterminantes peuvent influencer sur les jeunes, jusqu’à ce qu’ils finissent par basculer.

Le chômage chronique des jeunes

Le chômage est l’arme destructrice du développement d’une nation. Lorsqu’il est chronique; il entraîne les jeunes à faire des activités illégales et illicites. Jusqu’à ce que les jeunes finissent même à prêter allégeance au terrorisme, pas par ambition, ni par passion, mais pour l’argent et la vengeance.

Pour l’argent, parce qu’ils ne sont pas seulement des chômeurs mais aussi pauvres et vivent dans des conditions précaires. Et pour la vengeance, simplement, parce qu’ils sont marginalisés par leurs dirigeants dans l’emploi des jeunes. Des milliers de jeunes miséreux des villages alentour ont rejoint Boko Haram, attirés par l’argent, le pouvoir et, pour certains, par une chimère islamiste radicale.

Les chefs d’État africains sadiques avec leurs peuples, savent très bien que le chômage chronique est l’une des sources d’extension du terrorisme. Mais ils s’époumonent à lutter contre le terrorisme avec des armes, en gaspillant des milliards dans l’arsenal militaire.

En revanche, ces milliards gaspillés suffisent largement à créer des emplois pour réduire les risques les plus élevé du flux vers le terrorisme.

La « fluidité idéologique » religieuse dominatrice des terroristes à la conscience juvénile

Les terroristes ont une pédagogie fluide de transmission des messages doctrinaux. Ils sont des idéologues par excellence. Ils sont aussi doués dans la transmission de leurs idéologies néfastes.
Ipso facto, ils initient les jeunes à leurs modes opératoires et, inculquent aux jeunes des idées du genre : la mort est une amie, mourir avec une bombe est une clé pour accéder au Paradis.

C’est pourquoi les jeunes rongés par le chômage qui vivent désespérément dans des régimes totalitaires se laissent convaincre par le terrorisme. Une idéologie qui consiste d’une part à tuer et d’autre part à se faire exploser par une bombe au milieu d’une foule, afin d’avoir la carte bleue du paradis.
«BOUMMM…» est leur terminus.

Le désespoir juvénile, terreau du terrorisme

Le désespoir anéantit plus que la dictature. Une jeunesse désespérée au summum est comme un gamin, facile à tromper avec des bonbons et des chocolats.

C’est ainsi que les terroristes réussissent à récupérer les jeunes dans la bande du terrorisme avec de l’argent en liquide. « Fait alarmant, les jeunes et les femmes au Sahel, qui représentent la majorité de la population, sont visés par les campagnes de recrutement des mouvements radicaux. Près de 41 millions de jeunes des moins de 25 ans du Burkina Faso, du Tchad, du Mali, de Mauritanie et du Niger risquent de se radicaliser ou de devenir migrants », indique Mme Sellassie, présentant au Conseil de sécurité de l’ONU le dernier rapport en date du secrétaire général sur la Stratégie intégrée des Nations Unies pour le Sahel.

J’ai assez longtemps médité sur ce groupe de mots : « le désespoir juvénile ». Finalement j’ai réussi à conclure qu’en Afrique, c’est dans le désespoir juvénile que nait la haine, la vengeance et le soulèvement populaire. L’exemple le plus concret était celui du printemps arabe.

L’impétuosité désastreuse des chefs d’États africains

Je n’ai jamais vus des hommes sans cœur comme la plus grande partie de nos dirigeants africains. Des dirigeants qui aiment plus leur ventre que leurs nations. Hélas !

Cependant, je me demande souvent, quelles différences existent-ils entre ceux qui tuent pour hausser leurs idéologies néfastes (les terroristes) et ceux qui laissent mourir de faim (insécurité alimentaire) leurs peuples ?

Quelle différences existent-ils entre ceux qui massacrent leur propre peuple à cause du « pouvoir » et ceux qui font exploser les innocents à cause de leurs « idéologies » ? Il n’y a pratiquement presque rien de différence. L’ultime point commun : c’est tuer, massacrer. Leurs objectifs communs c’est : la gloire , le pouvoir (de gouverner). Ça, c’est une autre forme de terrorisme que j’appelle la forme évoluée du terrorisme en Afrique.

Des sommes colossales versées aux jeunes par les terroristes

Les terroristes sont aux aguets aux moindres gestes des jeunes; aussi et surtout des jeunes chômeurs des pays pauvres africains influencés par l’idéologie et la philosophie « terroristique ». C’est ce que doivent savoir les grandes puissances qui soutiennent les dictateurs en Afrique juste pour leurs intérêts au lieu de celui de l’humanité. Leurs intérêts creusent de plus en plus la pauvreté dans lesdits pays ( surtout africains et asiatiques).

Si les causes primordiales sont les secrets de polichinelles, il est inutile de se retrouver entre amis dans des différents sommets pour la lutte contre le terrorisme. Qu’adviendra la bande sahélienne dans les années à venir si les racines du flux migratoire vers le terrorisme que je viens de citer ci-haut ne cessent pas ?

Le terrorisme s’étendra partout en Afrique dont la sous-base sera la bande sahélienne et sera propagé dans le monde entier.


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Tchad : AJED-K (Association des Jeunes Engagés pour le Développement du Kanem) s’engage dans la lutte contre la pandémie du Covid-19 dans le Kanem, deuxième province à être touchée

L’Association des Jeunes Engagés pour le Développement du Kanem en abrégé AJED-K est la plus active des associations, sinon la première à s’engager vivement dans la lutte contre la pandémie du Covid-19 dans le Kanem qui est la deuxième province du Tchad sur le classement a être touchée par la pandémie du Covid-19.

Ce lundi 01 Juin 2020, la province du Kanem totalise 15 cas confirmés du Covid-19, ce qui fait que le Kanem se classe juste après Ndjamena la capitale tchadienne. Les personnes qui sont en contacts avec le deuxième cas sont déjà mises en quarantaine.

Que faire pour contrer cette pandémie et la faire bouter hors de la province ? Pour répondre à cette question importante, l’AJED-K s’est engagée résolument, avec une énergie et dynamisme juvénile dans la lutte contre cette pandémie ravageuse.

Les actions de l’AJED-K pour la lutte et prévention contre la pandémie du Covid-19

Suite à un appel de collecte de fond, matériels et kits pour la lutte contre la pandémie du Covid-19 lancé par son président le jeune dynamique Saleh Mallah Adji; l’association a collecté des fonds et avait reçu des dons (cache-nez, gel hydroalcoolique, savons et masques) pour la lutte contre la pandémie du Covid-19.

Opération masque de protection pour tout le monde.

  • Covid-19

Plus de 5000 cache-nez distribués dans l’opération « cache-nez pour tout le monde » lancé par ladite association dans les marchés de Mao, auprès des vendeurs des légumes, du pain, des beignets et des bouchers. Ces masques de protection permettent de minimiser les risques de contamination directe. Car ce sont les couches les plus exposées à la pandémie du Covid-19.

AJED-K met à la disposition de la population de Mao, des dispositifs de lavage des mains.

Des dispositifs de lavage des mains ont été doté à l’association par la communauté des jeunes Kogona de Medelari à Mao. Ces dispositifs seront mis à la disposition de la population dans les marchés, les lieux publics, surtout dans le marché de vente des viandes. Ces dispositifs sont classé à côté des bouchés, vendeur de la viande pour que chaque femme qui passe acheter la viande lave ses mains proprement tout en portant un cache-nez de protection.

Campagne de sensibilisation sur les mesures préventives contre le Covid-19

A travers son équipe de sensibilisation, une vaste campagne de sensibilisation touchant tous les Départements de la Province du Kanem est lancée par l’AJED-K afin d’amener la population à respecter les gestes barrières. Plus de 10 000 personnes sensibilisées, plus de 2000 masques et gels hydroalcooliques distribués et 10 dispositifs lavages des mains mis en place.

Appel à don, recherche de financement

Vue l’expansion de la pandémie dans le Kanem, l’AJED-K lance un appel à don, à financement pour mieux s’y prendre afin de barrer la route à cette diablesse dévastatrice qui ne cesse créer des conséquences dramatiques, économiques et des pertes de vies humaines.

Des dispositifs de lavage des mains ont été doté à l’association par la communauté des jeunes Kogona de Medelari à Mao